On parle de nous

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On parle de nous

Presse

Délinquance : les enfants d’Africains surreprésentés – Figaro (sept 2010)
Rapport Bockel « La Prévention de la Délinquance des Jeunes » – au Président de la République (nov. 2010)
Eviter la délinquance – Le Parisien (15 mars 2002)
L’école des parents migrants – Lien social n°566 (1er mars 2001)
Le candidat à l’embauche ne croit plus en lui-même – Blackmen n°49 (2000)
Comment sortir des conflits – Etre parent aujourd’hui (1999)
L’enfant africain, sa famille et les travailleurs sociaux – Actualités Sociales hebdomadaire n°1979 (14 juin 1996)
Les parents africains se sentent très seuls – Parents et Enfants
S’enraciner pour mieux s’intégrer – Est Républicain
Parents-adolescents : trois soirées pour les réunir – Luth, le journal (juin 1997)
Expression libre pour les parents de la Pierre-collinet – Le Parisien
Les paradoxes du droit des enfants en Afrique – Enfance Majeur

Vidéos

Radio

Emission RFI « 7 milliards de voisins »

Quand les mots font aussi mal que les coups: violences verbales, quelles blessures sur l’enfant ?

On parle souvent des violences physiques faites aux enfants. Pourtant, les mots font parfois aussi mal que les coups. «Tu n’es qu’un bon à rien», «Qu’est-ce que j’ai fait pour un avoir un gosse pareil?!». Ces petites phrases très répandues et souvent dites souvent sous le coup d’une colère parentale peuvent marquer psychologiquement à vie. Comment prévenir cette forme de violence familiale ordinaire ?

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Élites noires en France: du plafond de verre au nouveau Black Power ?

Le Gotha Noir de France édité par le Club Efficience vient de sortir sa nouvelle édition qui répertorie ses élites intellectuelles. Agée de 20 à 45 ans et issue des diasporas afro-antillaises, cette génération constitue-t-elle une nouvelle classe émergente ? En quoi cherche-t-elle à se différencier de ses aînés. Quelles sont ses attentes et ses espoirs ?

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Être un enfant aujourd’hui: du Nord au Sud, bonheurs et malheurs

Reportage d’Alice Milot à la bergerie de Bagnolet : Ils s’appellent Lucas, Ambre, Amias, Anis et Laura. Ils ont entre 9 et 14 ans et ils habitent Bagnolet, en Seine-saint-Denis, une banlieue parisienne tout proche de Paris. Samedi dernier, ils sont venus comme chaque week-end jouer dans la Bergerie de leur quartier, qui se situe au pied de leurs immeubles. C’est là, au milieu des chèvres qu’Alice Milot les a rencontrés.

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Afropéennes : nappy et fier de l’être !

Le mouvement nappy est en plein essor, et c’est désormais avec fierté que les afro-descendants arborent cheveux crépus et coiffures afro. Entre désir de bien-être et manifeste politique, se lève la génération décomplexée. On les appelle les Afropéennes. Qui sont-elles ?

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Les châtiments corporels à l’école

Les punitions corporelles sont une violence de l’adulte sur un enfant. C’est une humiliation pour l’enfant, car il est sans défense. Les personnes qui ont subi des violences tendent à devenir plus tard eux même violents.
L’apprentissage par la peur n’est pas durable. Les enfants assimilent mieux quand ils associent les études au plaisir, et non le contraire.
Un enfant apeuré a du mal à se concentrer s’il associe école et violence, il y a une forte probabilité de déscolarisation ou d’inhibition.

Comment enseigner et maintenir l’autorité dans sa classe sans violence ?
– Comprendre les besoins de l’enfant. Pourquoi est-il en retard ? Pourquoi n’a-t-il pas appris sa leçon ? Pourquoi bavarde-t-il tout le temps ?
– Poser un cadre: c’est-à-dire définir les règles ensemble. Exemple: écrire en commun les règles de discipline et les afficher en classe.
– Remplacer les punitions brutales par des conséquences liées à l’action. Exemple: être privé de récréation, effectuer une tâche d’intérêt pour la classe, etc.
– Être positif: complimenter les élèves, les valoriser. Ne pas le punir systématiquement.
– Dialoguer avec les parents pour aider l’enfant à mieux faire sans le culpabiliser
En bref, l’enseignant doit être admiré par l’enfant, et ne doit pas être craint.
Comme un conteur, il n’a pas besoin de chicotte pour attirer l’attention des enfants. Quand l’histoire est passionnante, les enfants se taisent spontanément quel que soit leur nombre. Ils sont aussi capables de raconter cette histoire beaucoup plus tard parce qu’elle leur a plu.

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